La saison des orages n'a point déserté. Les mers tumultueuses sont encore devant nous. Si au moins - le désirons-nous - était atteint le point le plus haut de notre folie.
Pour la suite nous ne savons pas par quelles lézardes l'édifice inaugurera sa destruction. De même nous ignorons si la patine et l'éclat viendront réchauffer les vieux murs.
Solstice tant attendu
Combien je te sollicite
De solenniser le jour
Le plus long de l'année solaire.
© Pierre Etienne / les sentiers du monde / les presses de Taizé 1972 ... p.15
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