Le monde s'ouvre comme un fruit
Tous les villages sont tranquilles
Lueurs au sommet des collines
Déjà l'odeur du foin coupé.
Eparpillement de colombes
Dans chaque pré d'alentour,
Y aurait-il tant de richesses
Dans l'incarnat et la luzerne ?
Le vent fait voguer des nuages
Ils rejoindront les grandes villes
Pour un nouveau jeu de lumière
Et d'ombre sur l'univers.
© Pierre Etienne / lente remontée depuis les rivages / les presses de Taizé 1969 ... p. 72 à 73
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